Dans les ruelles silencieuses, içi une petite épicerie dans laquelle on trouve tout ce que l'on veut, là, le marchand de pain à l'huile d'olive, des ribambelles d'enfants qui sortent de l'école en courant, tous en blouse bleu marine ou rose. On devine aux effluves épicées qui s'échappent des maisons, derrière les rideaux qui volent, les femmes dans leur cuisine.
Comme j'aimerais jeter moi aussi ce regard furtif par les portes entrebâillées... quand tu parlais de "l'autre côté", je me demandais de quel "là-bas" il s'agissait, il est si vaste l'autre côté -et si beau!-.
RépondreSupprimerMerci d'être passée...
Le regard furtif, on va l'avoir
RépondreSupprimerAllez zou on se bouge sur ce blog
A fin juin et surtout au 3 juillet
Bisous de la ville avec un accent !