mardi 25 mai 2010

Blanche et bleue, la médina nord de Tunis

Dans les ruelles silencieuses, içi une petite épicerie dans laquelle on trouve tout ce que l'on veut, là, le marchand de pain à l'huile d'olive, des ribambelles d'enfants qui sortent de l'école en courant, tous en blouse bleu marine ou rose. On devine aux effluves épicées qui s'échappent des maisons, derrière les rideaux qui volent, les femmes dans leur cuisine.
D'autres, silhouettes furtives, se hâtent vers quelque passage...
Des portes bleues, ocres, marrons, toutes abondamment et savamment cloutées, des portes fermées, ouvertes l'espace d'un instant.

Entrebaîllées, elles laissent nos yeux émerveillés découvrir quelque petit artisan qui tournoie autour de ses fils de soie.



2 commentaires:

  1. Comme j'aimerais jeter moi aussi ce regard furtif par les portes entrebâillées... quand tu parlais de "l'autre côté", je me demandais de quel "là-bas" il s'agissait, il est si vaste l'autre côté -et si beau!-.
    Merci d'être passée...

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  2. Le regard furtif, on va l'avoir
    Allez zou on se bouge sur ce blog
    A fin juin et surtout au 3 juillet
    Bisous de la ville avec un accent !

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